Titre français : Panzer Princess Punié

Nombre de volume : 1

Auteur : Hideki Ohwada

Editeur : Kurokawa

Genre : Magical girl guerrière

Nombre d'animé : indéterminé mais exitant

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            Qui a dit que le magical girl était toujours tout mignon ? Que les princesses sont toujours belle et gentille ? Alors ne vous aventurez pas plus loin, si vous ne voulez pas voir brisé ce rêve illusoire. Sinon bien venu dans les aventures de la Princesse Punié.

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1 – les personnages<o:p></o:p>

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         Punié Tanaka<o:p></o:p>

Princesse du pays de la magie, elle est à la fois adorable et terrifiante. Elle possède un bâton magique qui lui sert à rendre les objets vivants. Elle possède aussi une grande connaissance dans les techniques de combat digne d’une princesse. Elle est hanté par des dizaines de spectres qui rêve de se venger d’elle. Elle ne rêve que de gouverner le monde.

          Boss<o:p></o:p>

Elle est la chef du gang de l’école. Méchante et de mauvais caractère, elle rêve de détruire Punié d’une façon ou d’une autre. Elle va se lier avec Elisée pour tenter de réussir son plan. Leader du gang, elle doit assumé son image de mauvaise et pourri la vie des élèves, enfin presque… 

Elysée Von Barbaroque <o:p></o:p>

Magicienne comme Punié, elle est la fille de l’ancien roi du royaume magique. Elle rêve de reprendre la place en temps que princesse du royaume. Pour cela, elle utilise ses pouvoir pour créer des pièges pour tuer Punié. Malchanceuse, elle n’y parvient jamais…. Son surnom, c’est Eli-la-taupe mais nous n’avons eu aucun détail sur celui-ci.

          Tetsuko<o:p></o:p>

Ami de Punié, elle va avec elle tous les matin à l’école. Gentil et courageuse, elle demande à Punié de l’aider à chaque fois qu’il va se passer quelques choses. Elle cuisine un curry délicieux et est devenu délégué de l’école sans même s’être présenté.

          Payatan <o:p></o:p>

Mascotte de Punié, il est aussi son meilleur ami. Bien qu’il n’est pour ambition que de la tué, il n’attend que le moment opportun pour. Il vient du village Choupinimaux, où il était le chef du village et de la bande des méchants. Il a signé un contrat de mascotte pour l’éternité avec Punié.

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2 – résumé

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            Punié vient du royaume de la magie, pour succéder à sa mère, elle doit survivre à une année entière sur terre. A son arrivé, elle imagine le monde comme un monde merveilleux où les oiseaux chantes, les fleurs de toutes les couleurs poussent dans les prés et le ciel est toujours bleu. Le paradis en clair !…

            Mais son rêve éphémère va vite être brisé, vous l’auriez deviné… Celle-ci fait tournée la tête de tous les hommes qu’elle croise, vous imaginez bien que cela risque de créer des jalousies… Boss et son clan, furieuses de voir qu’elles n’ont plus aucun effet sur ses hommes, décident d’éliminer la princesse. Prend garde princesse derrière toi…

            Pas de panique : « lyrical tokarev kill them all ». Vous ne comprenez pas, c’est normal !… Cette phrase est en fait la formule magique de Punié pour invoquer ses pouvoirs magiques et donner vie à ses légumes. Bien maintenant que les choses sont éclairci continuons.

            A la première attaque du gans, ils ne purent résister à l’attaque des légumes vivant et plein de monde mourut. Boss bien décidé à se venger, rencontre un homme étrange qui lui donne une statut d’Anisakis. Cette statut prive la baguette de Punié de ses pouvoirs. Oh non ! Catastrophe, mais que va bien pouvoir faire notre princesse ?

Pas de panique une princesse se doit d’avoir une solution à tous conflit, sinon se ne serait pas une princesse digne de prendre la succession du royaume magique. Alors en piste pour la « luxation du coude : princesse arm lock ! », la force est parfois une bonne solution pour une princesse. Grâce à son talent pour le combat, elle terrasse encore ses ennemis. Bien sur à ce moment la Punié reprend son air Kawai et dit avec le sourire : « Et zut, j’ai encore tué des gens ! Y ».

Une sacré princesse non ?… mais imaginez que se n’est que le début, et que cette princesse mi-ange, mi-démon n’a pas encore dévoilé tous ses secrets. Si votre curiosité et ses quelques lignes, vous donnes envie d’aller plus loin alors allé déniché Panzer Princess Punié…

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Conclusion : <o:p></o:p>

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            Une couverture avec une magical girl toute mignon, ça donne envie de lire non ? Enfin si on aime les histoires de magical girl. Mais si on y regarde l’arrière plan, on y découvre une ville en flamme. Je n’y avais même pas fait attention au départ, si je l’avais fait cela aurai peut être évité la surprise durant la lecture du manga.

            Ce manga est humoristique et très bizarre. Mais cela créer un peu d’originalité et de moquerie vis à vis des héroïnes au pouvoir magique. Elles sont sensé sauvé le monde alors que celle-ci rêve de dominer le monde. Quel paradoxe ?!!!…

            Sinon les dessins sont de deux styles : le premier très mignon et le second très barbare. Le mélange des deux est pourtant peu gêneur et je suis sur que ce manga pourrai plus plaire aux garçons qu’aux filles au final…

            On compte aussi deux choses assez rigolote, la chanson de Punié qui est dans l’intérieur de la couverture. Et les dessins à colorier entre chaque chapitre. C’est original !!!!…

            Dans l’ensemble, ce manga est sympas. Il m’est même arrivé d’avoir une peur terrible qu’il y ai une suite. Cela ce situe en une page à la fin du livre mais ça c’est à vous de le voir. Un seul tome est largement suffisant, vu que l’histoire reste toujours sur la même base (magie, baston et Punié). Les idées étant vite essoufflé et s’il y avait eu une suite cela serait devenu lassant à la fin.

            Il reste simple à lire à part des noms farfelu pour les attaques et sa super phrase d’invocation. Pour ma part, j’ai adoré mais bon il faut aimé le style. Ce n’est pas un manga à la porté de tout les fans. A vous de voir maintenant…. Pour ceux qui ont aimé le manga, une série d'animé sont sorti sur les Télé japonaise. nous pouvons donc espèrer les voir arriver en France un jour...

Cliquer sur l'image pour la voir en grande

           
           
           
           
           
           
           
           
           
           

Premier opening

Second opening

Premier ending

Second ending

Lors de la fête de l'animation 2006 à Lille, nous avons eu l'occasion de rencontrer un petit groupe de cosplayeurs belge qui ont accepté notre entrevue.

Présentation rapide des cosplayeurs :

   Newenthe : née le 06 octobre 1983

   Soi-fong : née le 24 juin 1985

   Nii-san : né le 26 octobre 1977, de groupe A-

   Nocturne : né le 06 décembre 1982, de groupe O+ 

Au second plan, de gauche à droite : Newenthe, Soi-fong, Nii-san, Nocturne.

      Comment êtes-vous venu au cosplay ? Pourquoi avoir fait du cosplay ?

            Newenthe :  En cherchant des images sur internet, des images d'anime via Google en autre, en recherchant des visuels de Saint Seiya, j'ai flashé sur un cosplay japonais de Saint Seiya. A la base ma recherche de visuels était pour redessiner des personnages. Avoir avoir vu ce cosplay en photo, j'ai fait des recherches pour savoir s'il y avait du cosplay en Europe, et dans quelles convention il y en avait. Mon premier cosplay est tiré de Hunter x hunter lors du japan expo 2004.

            Soï-Fong :  En recherchant des images de personnages d'anime pour faire des montages, pour créer des wallpapers, je suis tombée sur des photos de cosplays, j'ai bien aimé le concept et le fait d'incarner un personnage, j'ai trouver ça super. Je me suis renseignée, j'ai trouvé le forum "cosplayforum", et je me suis lancé. Mon premier cosplay est tiré de Bleach et je l'ai présenté à la foire du livre de Bruxelles en 2006.

            Nii-san :  J'ai assisté en tant que spectateur à divers concours de cospaly comme ceux de japan expo, et comme je soutenais Soï-Fong, à force de côtoyer le milieu, le virus a pris, et je suis passé à l'acte. Mon premier cosplay, je l'ai fait pour Epitanime 2006,il était tiré de Bleach

            Nocturne [NDLR : plus gothic que fan de japanimation] :  Comme tout le monde, en regardant des images sur internet, on entend parler d'une série, on essaye de trouver des informations, et on trouve des photos de cosplay. J'ai très peu de cosplay à mon actif, je m'intégre dans des groupes, comme pour FACTS (Fantasy Anime Comics Toys Science-fiction) avec un projet Naruto. On découvre le cosplay et c'est une drogue, une fois qu'on a goûté on peut plus sans passer.
            Le manga garde quand un même un côté enfantin en général, et cela ne me plaît pas trop, je garde le cosplay d'anime pour les grands événements, les grands groupes.
            Concernant la Culture Visual Key, mes préférences sont bien sur toute la musique gothique et Malice Mizer, et d'autres. C'est un train de vie pour moi. Etant extraverti, je me maquille constamment. Je m'habille comme ça par plaisir, c'est mon reflet. Je cultive pas, par les habits, un esprit rebelle, je ne cherche pas a être différents des autres. Mais à écouter ma conscience, mes tenues sont un reflet de cette dernière.

      Concernant le reportage de "Zone interdite : les dérives de la jeunesse" diffusé sur M6, que pensez-vous de l'image donné par les gothic-lolitas ?

            Oui, j'ai pu voir ce reportage, et cela ne donne pas une image si négative que ça, les jeunes filles présentées vivent leur fantaisie, elles cherchent à trouver leur identité. il faut les laisser faire mais pas trop, il faut pas que cela soit déraisonné. Mon seul gros reproche, c'est le regard des autres, dés qu'on sort du cadre des normes vestimentaires courantes, il y a un rejet d'incompréhension, on ne cherche pas à aller plus loin, explorer d'autres champs, on refuse même l'essai de comprendre.

            Personnellement, j'encourage les filles du reportage à aller au bout de leur démarche, pour qu'elles s'ouvrent l'esprit, découvrir d'autres horizons. Et au final elles réaliseront si elles s'habillent comme ça, c'est soit par effet de mode et cela leur passera, soit par choix personnel et elles développeront leur propre identité, leur propre univers.

Nocturne et Newenthe

      Comment choisissez-vous vos cosplays ? Comment gérez-vous le temps de confection ? Et concernant les accessoires comment vous faîtes ?

            Newenthe :  Je choisi par affinité avec le personnage que j'incarne, s'il me plaît bien ou pas, au niveau physique et caractère. Généralement, c'est suite à des recherches de visuels sur internet, google image est mon ami. Je regarde aussi s'il n'existe des manga ou art-book, etc... Pour diversifié les sources et avoir le plus de détails aussi.
            Pour les accessoires, j'essaye de les fabriquer moi-même, je fréquente souvent les boutiques d'art créatifs. Mais j'achète aussi quelque fois sur e-bay notamment, quand j'ai pas le temps ou quand je ne sais pas comment les faire; Je fabrique plus que je n'achète.

            Soï-Fong :  Je regarde beaucoup d'anime et lis des manga Je n'hésite pas à aller dans le fan-sub, je préfère prendre les animes en version original sous-titrés français, s'il y a pas je me rabats sur du VOST anglais. Je télécharge avec tout, e-mule, bitorrent, irc ...
            Je prends souvent des personnages à l'opposée de moi, je les choisis méchants, autoritaires, débiles, etc...
            Concernant les délais, je fais ça par rapport aux dates de convention, je choisi et fait le costume en fonction du temps qu'il y a entre le moment où je suis informé des dates et le jour J.

            Nii-san :  Je suis un ancien membre (traducteur, checkeur, raw-hunter, timeur), d'une team de fan-sub, on travaillait à partir de sub anglais. Mes sources de cosplays viennent en partie de série animé, fan-subées ou non.
            Ensuite, les cosplays je les construits et choisi avec Soï-Fong dans le but de constituer au maximum des duos.
            Au niveau de la construction, je fais par rapport à l'échéance de la convention et avec Soï-Fong on mutualise les tâches pour mieux se les répartir.

            Nocturne :  Au niveau des cosplays, j'essaye de trouver des choses qui me ressemble, je m'insère dans des groupes quand on m'invite, et je n'hésite pas à trouver et présenter des cosplays peu ou pas connus (soit un personnage très peu fait ; soit une variante du personnage sous-exploité).

            A côté des cosplays, je suis un EAG, Elegant Aristocrate Gothic, et poursuit une formation de styliste, par mes habits je cherche à transposer mon monde dans la réalité, le monde des rêves le mettre dans le réel, faire du psycho-scénique.
            Mes vêtements me permettent de m'échapper de la réalité tout en étant dans le monde réel qulqu'un de vivant, je laisse libre court à la fantaisie.
            Je fais mes propres recherches, mes propres créations, sans copier les autres. Bien sur j'ai des sources, dans l'univers du visual key, des groupes comme Moi dix mois, PLC, Despair rey, Kanon, Amadeus, Gazette, etc...
            Le label Midi-nette, avec sa marque de vêtement est une chose que je suis régulièrement.
            Au niveau de mes costumes, habits, ils sont assez simple, et j'y travaille quand j'ai envie et le temps. Je n'hésite pas à reporter un costume si je n'ai pas le temps.

Nii-san et Soi-fong

      Comment se passe le cosplay en Belgique ? Convention proposées ? Pourquoi venir en France pour faire du cosplay ? Comment est perçu le cosplay français en Belgique ? Diffusion des médias en Belgique ? Y'a-t-il une rivalité Flandre-Wallonie dans le cosplay ?

            Réponse collégiale : 
            Le cosplay en Belgique, il y a rien !
            On va dire, pourtant il y a la FACTS (Fantasy Anime Comics Toys Science-fiction) à Gand, grosse convention pour le Bénélux, mais tout ce qui est issue de l'animation japonaise et manga, c'est minoritaire, les trois quarts sont des costumes de films (star wars, etc...) pour l'édition 2003 il y avait qu'une petite douzaine de cosplay-japon ; en 2006 il y a eu un boum 40 sur 160 avait pour origine la japanimation. FACTS est très commercial, c'est vraiment pour les collectionneurs, beaucoup de goodies, les acteurs de films sont présents mais les autographes sont payants à 25 euros minimum la signature et pourtant l'entrée est payante 8 euros par jours et 6 euros pour les cosplayeurs et extravagants.
            Il y a eu une amélioration à FACTS en 2006 par rapport aux autres années mais c'est pas encore ça. Le concours cosplay est très archaïque, mis en place par des organisateurs de la convention, mais sans être attitré qu'à cette organisation. Les temps de passage sur scène ont été définis deux à trois jours avant la prestation, les individuels et les groupes passent en mélangés, il y a des costumes acheté dans le concours et c'est flagrant, tout ça n'est pas professionnel, tout comme qu'à partir de 2006 il y a eu des pré-inscriptions et la possibilité de passer sur scène avec son propre fond musical.

            Mais le manga enfle en Belgique et les éditeurs s'en rendent compte, par exemple pour la Foire du livre 2006 à Bruxelles, l'éditeurs Kana, a démarché, contacté, une dizaine de cosplayeurs pour assurer la présence d'un cosplay.

            Face à ce manque cruel, certains cosplayeurs se lient en créant des équipes et/ou en montant des associations concrétisant une volonté de vrai organisation, pour faire avancé les choses. Une exemple flagrant, le 29 octobre 2006 à Liège se tiendra la première convention cent pour cent japanimation en Belgique l'Asianim.

            Pourquoi on vient en France , Pour faire du VRAI cosplay, pour participer à de VRAI concours, avec des structures, organisations et présentions bien définies et transparentes. En France ce qui nous motive aussi c'est le niveau général du cosplay qui est d'assez haut de niveau, de plus en Belgique on n'a pas le choix des conventions comme en France, en clair c'est soit on va en France pour passer sur scène, soit le cosplay reste au placard. On ne fait pas tout le temps le voyage, car même en s'y prenant à l'avance l'aller/retour Bruxelles-Paris coûte 75 euros, à cela s'ajoute l'hôtel, si on fait une convention sur deux jours ça chiffre au final.

            En Belgique, le cosplay français sert de référence aux cosplayeurs wallons et flamands.

            Concernant la diffusion des produits japonais en Belgique, le constat est simple, il y a rien. A Anvers est présente une grosse boutique vendant de tout (manga, goodies, j-music, etc...) mais les prix sont chers car il y a une situation de monopole. A Bruxelles, faut aller dans des petites boutiques vraiment spécialisé, on les connaît par bouche à oreille.
            La contrefaçon il y en a en pagaille, des fois pour reconnaître du vrai au faux c'est difficile. Pour éviter ça moi [NDLR : Nocturne], je commande mes cd de j-music directement sur les sites japonais, je suis sur d'avoir du vrai et en first-press !

            Au niveau des manga francophone par entre là, la Belgique s'aligne sur la France, un manga papier coûte entre 5 à 12 euros maximum. et il y a pas de décalage dans les parutions, s'il existe il est très léger, parfois le manga sort en premier en Belgique puis en France.

            Pour communiquer entre nous, Soï-Fong et Nii-san ont crée le forum "cosplay-belgique" d'abord en français puis en anglais, car il y a beaucoup plus de cosplayeurs flamands que wallons, et pour les attirer on a fait la partie anglaise. Ensuite nous avons crée le forum flammands pour leur faire plaisir et toucher plus de monde. Ils postent de leur cote, mais viennent dans la partie anglaise pour mettre des idées en commun avec les francophones, et pour la créations de groupes, etc...

            Pour finir, flamands et wallons s'entendent bien dans le milieu du cosplay, même en tenant compte des barrières culturelles et du langage. Le forum rassemble tout le monde dans une bonne ambiance.

Où les contacter :

=> cosplay-belgique.keogratuit.com
=> cosplayforum.com

Auteur : Judith Park

1 seul volume

Editeur : pika édition

Genre : shôjo

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            « Vous voulez entendre une histoire triste ? Non ? Alors vous devriez tout de suite arrêter de lire…. ». Ainsi commence ce manga, une introduction peu orthodoxe qui m’a fait sourire et m’a donner envie d’aller plus loin. Si vous aussi vous voulez découvrir l’histoire de Dionne, suivez nous dans son univers.

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1 – les personnages<o:p></o:p>

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         Dionne Hawking<o:p></o:p>

Jeune fille blonde aux yeux bleus de 17 ans, elle est la sœur de Lyon. Ayant un caractère fort, elle a des rapports très difficiles avec ses parents. Son frère toujours là pour elle, est le seul à lui apporter ce que ses parents ont oublié de faire pour elle. Elle souffre beaucoup du manque d’affection que ses parents ne lui portent pas. Elle reste une enfant et provoque toujours des jeux futiles avec sa meilleure amie Shikku.

          Lyon Hawking<o:p></o:p>

Jeune home de 19ans, il souffre d’une grave déficience cardiaque. Cet handicape est suivi continuellement par des médecins, et préoccupe tellement ses parents qu’ils en oublient de s’occuper de Dionne. Lyon est calme, doux et gentil, quand il est avec sa sœur rien ne semble les atteindre. Il est tellement bon qu’il a offert à Dionne tous e que leur parent ne lui avaient donné.

          Shikku Koryo<o:p></o:p>

Shikku est âgée de 16 ans. Elle est amoureuse de Lyon depuis tellement longtemps qu’elle ne croit plus au fait qu’il pourrait être amoureux lui aussi. Meilleur amie de Dionne, elle est douce et gentille. Elle suit Dionne dans ses délires parfois à son désarroi.

          Gabriel Hawking<o:p></o:p>

Clone de Lyon, il était sensé donner son cœur à Lyon si il y avait des complications dans sa maladie. Ressemblant a si méprendre à Lyon, il ne veut pas être comme lui. Et il cherche à montrer sa vraie personnalité. Pour prendre un nouveau départ et ne plus tant ressembler à Lyon, il finira par se couper et se teindre les cheveux.

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2 – le résumé<o:p></o:p>

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            Lyon et Dionne sont frère et Sœur. Bien qu’à la maison Dionne ne parvient à trouver un terrain d’entente avec ses parents, elle parvient à surmonter ses conflits grâce à Lyon. Dionne et ses parents ayant une vision complètement différente de la vie de famille, les évènements s’enchaine et se ressemble, jusqu’au jour où….

            Dionne et Shikku ont décidé d’aller à la plage ensemble. Shikku étant amoureuse de Lyon, elle se confie à sa meilleur amie, qui va se débrouiller pour que Lyon les accompagnes. Espérant que cette sortie à la plage puisse leur permettre de se connaitre un peu plus, mais sans laisser de faux espoir à Shikku, elle convient son frère de ce joindre à elles. Dionne ayant envie de se baigner, elle lance le défi de la première à l’eau à Shikku pour s’amuser. Hélas pendant sa course, Shikku est blessée au pied par un objet coupant dans le sable. La journée serait elle fichu pour Shikku qui se faisait le plaisir de connaitre mieux Lyon ?!...

            Blesser, la plage c’est fini. Direction l’hôpital… Mais en rentrant chez les Hawking, Dionne se fait interpeler par ses parents sur ses enfantillages. Cela fini en dispute pour changer. Pendant ce temps Lyon et Shikku ont le temps de faire connaissance. Celle-ci apprend le grand secret de Lyon, quand à lui il réalise qu’il a des sentiments pour elle. Serait ce le début d’une grande histoire d’amour…

            Hélas en quelques secondes, tout va basculer pour nos deux amies. Un tragique accident qui vient briser une famille déjà si fragile. Dionne qui ne vivait que par son frère se retrouve complètement perdu. Ses parents la voyant effondré, tente de renouer le contact en lui présentant le clone de Lyon, Gabriel. A son retour des cours, elle croit rêver jusqu’à ce qu’elle apprenne qui il est.

            Là, c’est la catastrophe, elle le rejette sans même vouloir le connaitre et se retrouve seul face à son désespoir. Même sa meilleure amie, ne parvient à la comprendre. Serait-se le début de la fin entre Dionne et Gabriel ?....c’est à vous de le découvrir….

Conclusion : <o:p></o:p>

Ce one shot Allemand a du caractère et une très belle histoire. L’histoire triste de base est tout de même entrainante. Ainsi le caractère très différent des personnages donne de l’énergie au manga. Ce manga très agréable à lire, manque quelques peu de dialogue. Très bien introduit, son fil conducteur est suivi avec légèreté, se qui donne de la fluidité dans la lecture de ce manga.

J’ai beaucoup appréciée ce shôjo que j’ai lu d’une traite tellement qu’il m’a plu. Son seul défaut, c’est que pour ma part cette histoire triste ne m’a pas vraiment toucher. J’ai bien aimée les petites colonnes où l’auteur nous parles d’elle et de se qui s’est passé pendant la réalisation de son manga. Bien que certaines d’entre elles n’ont aucune relation avec le manga. C’est dommage !!!....

Une suite peut être envisagée même si pour le moment, l’auteur ne l’a pas prévu. Peut-être découvrirons-nous bientôt, le nouveau départ de Gabriel et Dionne ? En attendant, si ce que je vous ai présenté vous à plut, il ne vous reste plus qu’à aller cher votre distributeur l’acheter ou l’emprunté à un(e) ami(e) qui se serai déjà laisser tenter par Dystopia…