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Par ania70 le 23 Juillet 2006 à 15:40
Au japon, pour fêter le passage à lage symbolique de 2 ans et pour encourager ses jeunes à prendre leur avenir en mains, est organisé le deuxième lundi de janvier le « Seijin no hi » (jour de lascension à la majorité). Toutes les jeunes filles et tous les jeunes hommes qui auront 20 ans au cours de lannée se rassemblent dans les sanctuaires pour prier les dieux.
Ce rituel de passage a été instauré pour la 1ère fois en 1948, il était organisé le 15 janvier chaque année jusquen 1999. Depuis lan 2000, le Seijin no hi est organisé le deuxième lundi de janvier.
Pour cette occasion, les jeunes filles se parent de sublime kimono de soie et dune écharpe de fourrure. Arrivé aux sanctuaires, ils participent aux traditionnels vux de chance, richesse et santé, après avoir assisté à la cérémonie de la majorité (Seijin shiki) que les autorité local organise en leurs honneurs.
Tous ses kimonos somptueux sont loué pour loccasion leur coûterons environ 60 000 yens pour le pack comprenant habillage, kimono fourrure et petit sac. A ceci devra sajouter prés de 32 000 pour la coiffure dont les décorations devront être restitué à la fin. Les coiffures vont bon train ! Pour cette occasion les coiffeurs restent ouverts toute la nuit précédente car des milliers de jeunes filles affluent de toute la ville.
Quand au garçon prés de 90% dentre eux sont vêtu dans des vêtements sombres à loccidentale et les quelques garçons en kimono ne sont pas aussi attirant que les jeunes filles.
Le souhait le plus populaire est la demande dargent. En effet, les jeunes japonais adore sortir mais cella coûte très cher et ceux-ci ne peuvent demander plus dargent à leur parent qui paye déjà prés de 800 00 yens par an pour leur étude (6000 euros environs) et à cela sajoute le loyer du logement de létudiant.
Pour pouvoir faire toute ses sorties les étudiants font des petits boulots appeler « arubaito » plus communément appeler freeta. Cela consiste à accumuler les boulots d'interims à son rytme. Arrêter, changer qu'en ils en ont marre et gérer leur temps comme ils l'entendent. Mais choisir de devenir freeta, c'est aussi être dans l'instabilité proffessionnelle et de ne pas être reconnu socialement( assurance chomage, maladie et accident du travail).
Deux styles de vie sont à la porté des jeunes japonais mais l'inquiétude reste chez tous ses jeunes. Ils ont peur pour leur avenir : retraite, chomage, précarité, incertitude ; une seuke question reste sur toute les lèvres qu'allons nous devenir demain?
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