•         Au japon, pour fêter le passage à l’age symbolique de 2 ans et pour encourager ses jeunes à prendre leur avenir en mains, est organisé le deuxième lundi de janvier le « Seijin no hi » (jour de l’ascension à la majorité). Toutes les jeunes filles et tous les jeunes hommes qui auront 20 ans au cours de l’année se rassemblent dans les sanctuaires pour prier les dieux.

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    Ce rituel de passage a été instauré pour la 1ère fois en 1948, il était organisé le 15 janvier chaque année jusqu’en 1999. Depuis l’an 2000, le Seijin no hi est organisé le deuxième lundi de janvier.

    Pour cette occasion, les jeunes filles se parent de sublime kimono de soie et d’une écharpe de fourrure. Arrivé aux sanctuaires, ils participent aux traditionnels vœux de chance, richesse et santé, après avoir assisté à la cérémonie de la majorité (Seijin shiki) que les autorité local organise en leurs honneurs.

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    Tous ses kimonos somptueux sont loué pour l’occasion leur coûterons environ 60 000 yens pour le pack comprenant habillage, kimono fourrure et petit sac. A ceci devra s’ajouter prés de 32 000 pour la coiffure dont les décorations devront être restitué à la fin. Les coiffures vont bon train ! Pour cette occasion les coiffeurs restent ouverts toute la nuit précédente car des milliers de jeunes filles affluent de toute la ville.

    Quand au garçon prés de 90% d’entre eux sont vêtu dans des vêtements sombres à l’occidentale et les quelques garçons en kimono ne sont pas aussi attirant que les jeunes filles.

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    Le souhait le plus populaire est la demande d’argent. En effet, les jeunes japonais adore sortir mais cella coûte très cher et ceux-ci ne peuvent demander plus d’argent à leur parent qui paye déjà prés de 800 00 yens par an pour leur étude (6000 euros environs) et à cela s’ajoute le loyer du logement de l’étudiant.

    Pour pouvoir faire toute ses sorties les étudiants font des petits boulots appeler «  arubaito » plus communément appeler freeta. Cela consiste à accumuler les boulots d'interims à son rytme. Arrêter, changer qu'en ils en ont marre et gérer leur temps comme ils l'entendent. Mais choisir de devenir freeta, c'est aussi être dans l'instabilité proffessionnelle et de ne pas être reconnu socialement( assurance chomage, maladie et accident du travail).

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    Deux styles de vie sont à la porté des jeunes japonais mais l'inquiétude reste chez tous ses jeunes. Ils ont peur pour leur avenir : retraite, chomage, précarité, incertitude ; une seuke question reste sur toute les lèvres qu'allons nous devenir demain?

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